WYLER (William) (suite)
Le chef-d'œuvre de Wyler reste sans doute les Plus Belles Années de notre vie (1946), parfaitement représentatif de son style et de son talent, mais aussi le seul de ses films où souffle fort l'air du temps. Si William Wyler n'est pas un auteur, il n'est cependant pas un artisan négligeable.
Films :
Crook Busters (1925) ; Lazy Lightning (1926) ; Stolen Ranch (id.) ; Blazing Days (1927) ; Hard Fists (id.) ; Straight Shootin'/Shooting Straight (id.) ; The Border Cavalier (id.) ; Desert Dust (id.) ; Thunder Riders (1928) ; Anybody Here Seen Kelly ? (id.) ; The Shakedown (1929) ; The Love Trap (id.) ; Hell's Heroes (1930) ; la Tourmente (The Storm, id.) ; A House Divided (1932) ; Tom Brown of Culver (id.) ; Her First Mate (1933) ; le Grand Avocat (Counsellor at Law, id.) ; Glamour (1934) ; la Bonne Fée (The Good Fairy, 1935) ; The Gay Deception (id.) ; Ils étaient trois (These Three, 1936) ; Dodsworth (id.) ; le Vandale (Come and Get It, co H. Hawks, id.) ; Rue sans issue (Dead End, 1937) ; l'Insoumise (Jezebel, 1938) ; les Hauts de Hurlevent (Wuthering Heights, 1939) ; le Cavalier du désert (The Westerner, 1940) ; la Lettre (The Letter, id.) ; la Vipère (The Little Foxes, 1941) ; Madame Miniver (Mrs. Miniver, 1942) ; The Memphis Belle (DOC, 1944) ; Thunderbolt (DOC, CO J. Sturges, 1945) ; les Plus Belles Années de notre vie (The Best Years of Our Lives, 1946) ; l'Héritière (The Heiress, 1949) ; Histoire de détective (Detective Story, 1951) ; Un amour désespéré (Carrie, 1952) ; Vacances romaines (Roman Holiday, 1953) ; la Maison des otages (The Desperate Hours, 1955) ; la Loi du seigneur (Friendly Persuasion, 1956) ; les Grands Espaces (The Big Country, 1958) ; Ben Hur (id., 1959) ; la Rumeur (The Children's Hour, 1962) ; l'Obsédé (The Collector, 1965) ; Comment voler un million de dollars (How to Steal a Million, 1966) ; Funny Girl (id., 1968) ; On n'achète pas le silence (The Liberation of L. B. Jones, 1970).