France.
jeudi 21 mars 1968
Prix Jean-Vigo à Christian de Challonge, pour O Salto.
Tous les évènements du Monde du 1er Juillet 1966 au 31 Décembre 2003.
samedi 21 mars 1970
Pas de stationnement payant, décide le Conseil de Paris par 43 voix contre 42.
dimanche 21 mars 1971
Second tour des élections municipales.
mardi 21 mars 1972
Enlèvement, par un commando trotskiste, du directeur de la filiale de Fiat, O. Sallustro.
mercredi 21 mars 1973
Greffe totale d'une main à l'hôpital de Bordeaux.
Une collection d’ouvrages pratiques pour faire le tour d’une spécialité
Dictionnaire du Cinéma
« Amour maladif », ainsi le Petit Larousse définissait-il l'érotisme en 1949. Le même dictionnaire traitait l'adjectif érotique plus sereinement : « qui a rapport à l'amour ». L'érotisme a toujours pâti (ou bénéficié !) d'un flottement certain dans les définitions, cherchant son lieu géométrique à distance variable d'autres notions, comme celles de sexe, d'amour, de pornographie... L'érotisme au cinéma tombe fatalement sous le coup des mêmes incertitudes sémantiques. Les surréalistes se refuseront à le dissocier de l'amour tout court, tandis que d'autres lui réserveront un domaine particulier, celui de l'amour physique, donc du sexe, mais considéré dans ses manifestations suggestives, détournées, voire sublimées, transférées, plus que dans ses représentations concrètes. Plus précisément encore, on l'opposera assez artificiellement à la pornographie, généralement considérée comme la représentation directe et triviale de l'amour physique. Une querelle partagera longtemps encore les tenants d'un bon usage du sexe dans l'art, et en particulier au cinéma, celui de l'érotisme, et ceux qui dénient toute solution de continuité entre deux aspects d'un même phénomène : érotisme et pornographie, imagination et réalité. Psychologiquement et physiologiquement, rien ne paraît en effet devoir séparer ces deux moments du comportement sexuel, dans la mesure où ils constituent bien le propre de l'homme : le temps de l'imagination, du rêve, du désir ; le temps de la réalisation, de l'acte, du plaisir. Mais, dans l'art, deux considérations viennent parasiter ce schéma : la morale et l'esthétique. Histoire de l'érotisme au cinéma et histoire de la libération du sexe sont inséparables, le souci de la Beauté venant fréquemment conforter, de manière consciente ou non, les interdits relevant fondamentalement de la morale. En réalité, l'érotisme, qui est l'une des dimensions de l'homme et l'un des comportements qui le mettent en relation avec l'univers, est aujourd'hui à peu près reconnu comme tel et admis dans un cinéma globalement libéré. La persistance de circuits spécialisés ne change rien à cette révolution essentielle. L'érotisme au cinéma a connu le même parcours que d'autres genres (l'épouvante, la science-fiction), systématiquement exploités dans des productions marginales, avant de trouver son droit de cité dans la « littérature cinématographique générale », où ses manifestations, plus sporadiques, moins spécialisées, puisque participant désormais d'un tout, sont admises dans leur pleine expression. Signe des temps : des budgets de productions moyennes, et même moyennes-supérieures (Histoire d'O, Caligula) sont consacrés à des films à dominante érotique, de la même façon qu'il eût été impensable, il y a vingt ans, de consacrer des budgets de superproduction à des sujets tels que Shining ou Rencontres du troisième type.
Dictionnaire de la danse
Compositeur russe.
Dictionnaire de l'économie
La plus abondante et la plus anciennement utilisée des sources d'énergie fossiles.
Dictionnaire mondial des Films
Drame de Billy Wilder, avec William Holden (Joe Gillis), Gloria Swanson (Norma Desmond), Erich von Stroheim (Max von Mayerling), Nancy Olson (Betty Schaefer), Fred Clark (Sheldrake), Lloyd Gough (Morino), Jack Webb (Artie Green), Franklyn Farnum (l'entrepreneur des pompes funèbres) et, dans leur propre rôle : Cecil B. De Mille, Hedda Hopper, Buster Keaton, Anna Q. Nilsson, H. B. Warner, Ray Evans, Jay Livingston.
Dictionnaire de l'Histoire de France
expression désignant l'hiver de 1709, qui impressionna les contemporains par sa rigueur, ainsi qu'en témoignent les nombreuses mentions dans les registres paroissiaux, les livres de raison ou les correspondances administratives.
Dictionnaire de la Littérature
La littérature hébraïque remonte, avec des périodes fastueuses ou médiocres, à la plus haute antiquité, sans avoir toujours cependant relevé d'une inspiration religieuse. Déjà dans l'Espagne du Xe au XIVe s. s'était développée une littérature laïque juive. Pendant les années plus sombres des XVIe et XVIIIe s., au contraire, ses thèmes furent presque uniquement théologiques. La précarité de leurs droits, la haine et le mépris de leur entourage avaient, en effet, contraint les Juifs à se replier sur eux-mêmes et à approfondir leurs données culturelles propres. La poésie se cantonnait dans les cadres religieux de la liturgie (Piyyoutim), de l'élégie sacrée (Qinnot), de la prière (Tefillôt). C'est seulement en Hollande et en Italie que prirent naissance, parmi les rescapés d'Espagne, une littérature mondaine et une poésie semi-laïque avec Joseph Penso et Moïse Zacuto.
Larousse Médical
Organe constituant l'enveloppe du corps.
Dictionnaire de la Musique
Le genre du quatuor à cordes tel que le mirent sur pied, indépendamment l'un de l'autre, mais à peu près à la même date (v. 1760-1770), Haydn et Boccherini, implique des ouvrages sans basse continue, pour 4 instruments à cordes solistes de la même famille (2 violons, alto et violoncelle), traitant ces 4 instruments avec une dignité égale et obéissant, du moins à l'époque, aux principes de ce que plus tard on devait appeler la forme sonate. Les éléments de cette définition n'apparurent pas tous avec la même force au même moment, ni au même degré dans les mêmes œuvres, et c'est Haydn, bien plus que Boccherini, qui devait les maîtriser tous, mais aucun n'est en soi secondaire.
Dictionnaire de la Peinture
Peintre français (Blainville, Seine-Maritime, 1887 – Neuilly-sur-Seine 1968 ).
En son temps, un instrument privilégié pour l’actualisation des connaissances
Reflet du savoir de notre civilisation, la Grande Encyclopédie témoigne aussi de son époque et du regard porté par celle-ci sur le monde. Conçue pour donner à ses lecteurs un maximum d'informations, elle propose quelque 8 000 articles écrits par près de 1 000 spécialistes. Grands domaines et concepts généraux, personnalités et civilisations, lieux géographiques et hauts-lieux culturels, événements et grandes périodes y trouvent un exposé complet et précis.