(Ballet du théâtre de la -) Scala. (suite)
A partir des années 1970, l'ouverture se traduit par l'investissement d'autres lieux de spectacle (Milano aperta, Estate d'Arte) ce qui favorise l'accueil de tendances chorégraphiques plus audacieuses incarnées d'abord par M. Béjart, J. *Butler, F. *Blaska puis par *Momix, T. *Tharp, A. *Nikolais, P. *Bausch, Lindsay Kemp, L. *Falco ou encore le *butô. En même temps, la Scala développe ses propres productions classiques avec Loris Gai, des créations nouvelles avec A. *Amodio et des reprises modernisées du répertoire (*Cendrillon, 1977, P. *Bortoluzzi). Les années 1980 et 1990 voient le théâtre soutenir le travail des nouvelles générations de chorégraphes italiens tels M. Morricone, F. *Monteverde, L. Giobbi, S. Chiesa, V. *Sieni, avec le concours des directeurs du corps de ballet comme J. *Field, Pierre Dobrievitch, Giuseppe Carbone, E. *Terabust.
NSca
Bibliographie. N. Scafidi, Il Teatro alla Scala, Ed. Gremese,