la Barbare
Drame de Mireille Darc, d'après le roman de Katherine Pancol, avec Murray Head, Ángela Molina, Aurélie Gibert.
Pays : France
Date de sortie : 1989
Technique : couleurs
Durée : 1 h 30
Résumé
Pour Sophie, que son père a renvoyée de Tunisie en France avec sa mère, l'amour se confond avec l'exil. Six ans après, elle revient vers son enfance. Le premier film réalisé par Mireille Darc.
le Barbare et la Geisha
Drame exotique de John Huston, avec John Wayne, Eiko Ando, Sam Jaffe.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1958
Technique : couleurs
Durée : 1 h 45
Résumé
Au milieu du XIXe siècle, le premier consul américain débarque au Japon et doit faire face à une épidémie de choléra.
Barbarella
Film de science-fiction de Roger Vadim, d'après la bande dessinée de Jean-Claude Forest, avec Jane Fonda.
Pays : France
Date de sortie : 1968
Technique : couleurs
Durée : 1 h 40
Résumé
En l'an 4000, Barbarella, astronaute et superwoman, se lance à la poursuite des ennemis de la Terre… Une célèbre B.D. mise au service de l'érotisme soft cher à Vadim.
la Barbe à papa
Comédie de Peter Bogdanovich, d'après le roman de Joe David Brown Addie Pray, avec Ryan O'Neal, Tatum O'Neal.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1973
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 40
Résumé
Moses parcourt l'Amérique de la grande dépression en survivant grâce à des escroqueries. À la mort d'une ancienne maîtresse, il se retrouve affublé d'une gamine qui se révèle une complice efficace. Le charme du film réside dans l'incroyable naturel de la propre fille du comédien principal qui décroche à 10 ans l'Oscar de la meilleure actrice de second rôle.
Barbe-Bleue
Comédie de Christian-Jaque, d'après le conte de Charles Perrault, dialogues d'Henri Jeanson, avec Cécile Aubry, Pierre Brasseur, Jacques Sernas.
Pays : France et R.F.A.
Date de sortie : 1951
Technique : couleurs
Durée : 1 h 25
Résumé
La légende du comte Amédée de Salfère, dit Barbe-Bleue, connu pour avoir fait passer de vie à trépas ses différentes épouses. Un film très soigné en forme de « clin d'œil ».
Voir aussi la Huitième Femme de Barbe-Bleue.
Autres versions réalisées notamment par :
Georges Méliès.
Pays : France
Date de sortie : 1901
Durée : environ 200 m
Edward Dmytryk, intitulée Barbe-Bleue (Bluebeard), avec Richard Burton, Raquel Welch, Joey Heatherton, Virna Lisi, Nathalie Delon.
Pays : R.F.A., France et Italie
Date de sortie : 1972
Technique : couleurs
Durée : 2 h 04
Barbe-Bleue
Film policier de Edgar G. Ulmer, avec John Carradine, Jean Parker, Ludwig Stossel.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1944
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 13
Résumé
À Paris, au début du XXe siècle, on retrouve dans la Seine des femmes assassinées. Un montreur de marionnettes passionné de peinture fait le portrait de jeunes femmes, dont Lucille, une belle modiste… Par un réalisateur peu connu du Hollywood des années 1950 (voir le Bandit).
Barbe-Noire le pirate
Film d'aventures de Raoul Walsh, avec Robert Newton, Linda Darnell, Keith Andes.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1952
Technique : couleurs
Durée : 1 h 39
Résumé
Pirates, belle captive, coffre empli de pierres précieuses sont réunis sur un navire commandé par le redoutable Barbe-Noire. De très belles images de William Snyder et le charme de Linda Darnell.
Barberousse
Drame de Akira Kurosawa, avec Toshiro Mifune (Barberousse), Yumo Kayama (le jeune médecin), Kyoko Kagawa (la folle), Kamatari Fujiwara (le vieillard).
Scénario : Akira Kurosawa, Ryuzo Kikushima, Hideo Oguni, Masato Ide, d'après le roman de Shugoro Yamamoto
Photographie : Asakazu Nakai
Musique : Masaru Sato
Pays : Japon
Date de sortie : 1965
Technique : noir et blanc
Durée : 3 h 05
Résumé
Au XIXe siècle, un futur médecin, qui veut faire carrière dans les beaux quartiers, est affecté dans un hôpital pour pauvres dirigé par Barberousse. Il est réfractaire aux méthodes dures, intransigeantes de son chef, qui n'est pourtant que dévouement pour ses malades. Son contact prolongé avec la misère et la souffrance transformera le jeune homme et le décidera à poursuivre l'œuvre de son maître.
Commentaire
Le film qui – selon ses dires – a coûté le plus d'efforts à son auteur, et qui est aussi son préféré. Il n'est pas construit sur une intrigue linéaire, mais rapporte une série d'épisodes séparés qui n'acquièrent leur cohérence que dans la prise de conscience progressive qu'ils amènent chez le jeune médecin. L'utilisation de longues focales (750 mm), qui écrasent les perspectives et dynamisent l'espace, en font un film très impressionnant visuellement. La scène où le docteur est confronté à la folle, filmée en un seul plan général où la caméra s'approche par « à-coups », est l'une des plus belles du cinéma.
Barberousse
Drame policier d'Abel Gance, avec Léon Mathot, Emile Keppens, Yvonne Briey.
Pays : France
Date de sortie : 1916
Technique : noir et blanc
Durée : 1 600 m (environ 1 h 35)
Résumé
Un journaliste commet des méfaits pour être le premier à en parler.
le Barbier de Sibérie
Fiction historique de Nikita Mikhalkov, avec Julia Ormond (Jane Callahan), Oleg Menshikov (Andreï Tolstoï), Richard Harris (Douglas Mc Craken), Alexei Petrenko (le général Radlov).
Scénario : Rustam Ibragimbekov, Nikita Mikhalkov et Rospo Pallenberg
Photographie : Pavel Lebeshev
Décor : Vladimir Aronin
Musique : Edward Nicolay Artemyev
Montage : Enzo Meniconi
Pays : Russie/France/Italie/République tchèque
Date de sortie : 1999
Technique : couleurs
Durée : 3 h
Résumé
Un jeune élève officier russe, Andreï Tolstoï, tombe éperdument amoureux d'une américaine rencontrée dans un train, Jane. Celle-ci est loin d'être insensible à cette passion juvénile, mais il se trouve qu'elle vient en Russie dans le cadre d'un contrat aux termes duquel elle doit séduire et épouser le général Radlov, qui commande l'école militaire d'Andreï. La jalousie du général provoquera l'exil d'Andreï en Sibérie. Bien des années plus tard, Jane réussira à se rendre là où vit son ancien jeune amant, mais ce sera pour constater qu'il est des séparations irréversibles, même pour des êtres qui n'ont pas cessé de s'aimer.
Commentaire
Tzar et vieille Russie, vodka et passion slave, corsés d'un peu de ketchup hollywoodien : la recette a paru trop fabriquée à certains critiques qui ont traité avec dédain ce film assez éloigné des riches ambivalences de Soleil trompeur. Pourtant si l'on oublie les hypothétiques calculs commerciaux et politiques du réalisateur et si l'on se contente de se laisser porter par le spectacle, puissant comme un grand fleuve russe, on éprouvera un réel plaisir et l'on ne s'ennuiera pas une seconde, malgré la longueur du film. On y trouvera aussi bien les grands espaces de la taïga sibérienne, la puissante chorégraphie des défilés militaires que des scènes comiques telles que le bal sur un parquet ultraglissant ou de vrais moments d'émotion dans les scènes d'amour ou celles qui illustrent l'esprit de camaraderie des cadets.