Maxie
Comédie de Paul Aaron, d'après le roman de Jack J. Finney Marion's Wall, avec Glenn Close, Mandy Patinkin, Ruth Gordon.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1985
Technique : couleurs
Durée : 1 h 32
Résumé
Un jeune couple de San Francisco découvre l'identité de la locataire qui les a précédés dans l'appartement qu'ils louent, une danseuse et actrice des années 1930. Bientôt, la jeune femme est littéralement possédée par ce personnage.
Maxime
Comédie satirique d'Henri Verneuil, d'après le roman d'Henri Duvernois, avec Michèle Morgan, Charles Boyer, Arletty, Félix Marten.
Pays : France
Date de sortie : 1958
Technique : noir et blanc
Durée : 2 h 04
Résumé
À la veille de la Grande Guerre, un vieux beau et un jeune homme fortuné se disputent les faveurs d'une jolie Parisienne. Une reconstitution soignée de la « Belle Époque ».
Max mon amour
Comédie dramatique de Nagisa Oshima, avec Charlotte Rampling, Anthony Higgins.
Pays : France et États-Unis
Date de sortie : 1986
Technique : couleurs
Durée : 1 h 32
Résumé
Tout irait bien pour ce diplomate anglais en poste à Paris si sa femme ne passait tous ses après-midi avec un très étrange amant, Max, dont l'irruption dans la famille et le milieu des ambassades fera quelque bruit. Un film tendrement cruel.
Maya
Comédie dramatique de Raymond Bernard, d'après la pièce de Simon Gantillon, avec Viviane Romance, Marcel Dalio, Louis Seigner, Jean-Pierre Grenier.
Pays : France
Date de sortie : 1949
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 18
Résumé
Peinture réaliste de la vie d'une prostituée du « quartier réservé » d'un grand port. Un rôle célèbre où s'illustra Viviane Romance.
Maya l'abeille
Dessin animé de Marty Murphy.
Pays : Autriche et R.F.A.
Date de sortie : 1979
Technique : couleurs
Durée : 1 h 22
Résumé
Une jeune abeille indisciplinée entraîne l'un de ses amis sur la voie de l'école buissonnière. Ils frôlent ensemble mille dangers, puis reviennent assagis au bercail.
Mayerling
Drame de Terence Young, avec Catherine Deneuve, Omar Sharif, Ava Gardner, James Mason.
Pays : France et Grande-Bretagne
Date de sortie : 1968
Technique : couleurs
Durée : 2 h 20
Résumé
Reconstitution à grand spectacle de la tragique histoire d'amour de Rodolphe de Habsbourg et Marie Vetsera. Ava Gardner est l'impératrice Elizabeth et James Mason, François-Joseph.
Mayerling
Drame historique d'Anatole Litvak, d'après le roman de Claude Anet la Fin d'une idylle, avec Charles Boyer, Danielle Darrieux, Jean Dax, Marthe Régnier, Jean Debucourt, Gabrielle Dorziat.
Pays : France
Date de sortie : 1936
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 41
Résumé
Au sein de la rigide cour de l'Empire austro-hongrois, l'archiduc Rodolphe de Habsbourg n'a d'autre issue, devant l'échec de son mariage et ses impossibles amours, que de se suicider avec sa maîtresse, Marie Vetsera, le 30 janvier 1889.
Autres versions réalisées par :
Jean Delannoy, intitulée le Secret de Mayerling, avec Jean Marais, Dominique Blanchar, Claude Farell, Jacques Dacqmine.
Pays : France
Date de sortie : 1949
Durée : 1 h 30
Rudolph Jugert, intitulée Kronprinz Rudolfs letzte Liebe, avec Rudolf Prack, Winnie Markus, Christiane Horbiger.
Pays : Autriche
Date de sortie : 1956
Durée : 1 h 40
Mayrig
Comédie dramatique d'Henri Verneuil, avec Claudia Cardinale, Omar Sharif, Isabelle Sadoyan.
Pays : France
Date de sortie : 1991
Technique : couleurs
Durée : 2 h 17
Résumé
Une famille arménienne, celle d'Henri Verneuil, s'installe à Marseille après avoir échappé au génocide mené par les Turcs.
Mazel Tov, ou le Mariage
Comédie de Claude Berri, avec Claude Berri, Élisabeth Wiener, Grégoire Aslan, Régine.
Pays : France
Date de sortie : 1968
Technique : couleurs
Durée : 1 h 30
Résumé
Claude tombe facilement amoureux, mais, après une dernière aventure, il se retrouvera à Anvers pour la célébration du mariage prévu avec Isabelle. Évocation tendre du milieu familial et du folklore juifs.
M comme Mathieu
Drame de Jean-François Adam, avec Sami Frey, Brigitte Fossey, Roland Dubillard.
Pays : France
Date de sortie : 1971
Technique : couleurs
Durée : 1 h 35
Résumé
Un homme sort de maison de repos. Sa femme l'attend mais il préfère vivre dans la solitude et le souvenir de cette épouse encore jeune. Le premier long métrage de Jean-François Adam.
Mean Streets
Drame de Martin Scorsese, avec Robert De Niro (Johnny Boy), Harvey Keitel (Charlie), David Proval (Tony), Amy Robinson (Teresa), Richard Romanus (Michael), Martin Scorsese (Shorty).
Scénario : Martin Scorsese, Mardik Martin
Photographie : Kent L. Wakeford
Décor : David Nichols
Musique : rock et country
Montage : Sid Levin
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1973
Technique : couleurs
Durée : 1 h 33
Résumé
New York. Dans les bas quartiers de l'East Side, la Petite Italie, quatre Italiens immigrés de la seconde génération dérivent, aux franges de la délinquance, dans un univers où le poids de la tradition, la violence, la culpabilité conditionnent les esprits jusqu'à la folie et au meurtre. Tony tient un bar ; Michael gère des affaires louches ; Johnny Boy, irresponsable, s'enlise dans ses dettes et les bagarres qu'il provoque, protégé par Charlie qui rêve de réussite sociale sous les aspects d'un restaurant promis par son oncle maffioso. Ballotté entre cet oncle, son amour pour Teresa, une épileptique, la protection qu'il croit devoir à Johnny Boy et Jésus, dont l'obsession semble guider ou contrecarrer tous ses comportements, Charlie cherche (et trouve ?) la sainteté en passant par la damnation.
Commentaire
Narcissique, fébrile, tour à tour baroque (dans le traitement des éclairages et la mobilité de la caméra) et hyperréaliste (par le choix des décors), Mean Streets est une œuvre clé dans la filmographie de Martin Scorsese, qui démarque, complète et approfondit son premier film, très autobiographique (Who's That Knocking at My Door ?). Le rythme visuel autant que musical qui le sous-tend de la première à la dernière image l'apparente à un opéra. Il tient la gageure de se maintenir, une heure et demie durant, à un niveau paroxystique qui confère au propos (une succession de tableaux, plus qu'une intrigue véritable) une dimension parabolique, celle d'une liturgie infernale. Le rituel purificateur qui assure le passage de la damnation à la sainteté et qui constitue le sujet réel de nombre de films de Scorsese trouve ici une expression cinématographique homogène dans l'incandescence.