Sœurs de scène
Mélodrame de Xie Jin, avec Xie Fang, Cao Yindi, Shangguan Yunzhu, Feng Qi.
Pays : Chine
Date de sortie : 1965
Technique : couleurs
Durée : 1 h 55
Film non distribué en France
Résumé
La vie mouvementée d'une jeune paysanne devenue actrice de théâtre en 1935 et qui sera gagnée par la cause révolutionnaire.
la Soif
ou la Fontaine d'Aréthuse
Drame d'Ingmar Bergman, avec Birger Malmsten, Eva Henning.
Pays : Suède
Date de sortie : 1949
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 28
Résumé
Un couple au bord de la rupture traverse en train l'Allemagne dévastée de 1946. La jeune femme revit une ancienne expérience amoureuse tandis que son époux rêve qu'il assassine sa femme.
la Soif de la jeunesse
Drame de Delmer Daves, d'après le roman de Mildred Savage, avec Troy Donahue, Claudette Colbert, Karl Malden.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1961
Technique : couleurs
Durée : 2 h 20
Résumé
Après la mort de son père, Parrish apprend la culture du tabac chez un planteur qu'il défendra contre un puissant voisin.
la Soif des hommes
Drame de Serge de Poligny, d'après le roman de Suzanne Pairault, avec Georges Marchal, Dany Robin, Andrée Clément, Jean Vilar, Paul Faivre.
Pays : France
Date de sortie : 1950
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 45
Résumé
Une famille de colons corréziens part s'installer en Algérie, en 1848. La première rencontre du couple Robin-Marchal.
la Soif du mal
Drame d'Orson Welles, avec Charlton Heston (Mike Vargas), Janet Leigh (Susan Vargas), Orson Welles (Hank Quinlan), Joseph Calleia (Pete Menzies), Akim Tamiroff (" Uncle" Joe Grandi), Ray Collins (Adair), Dennis Weaver (le veilleur de nuit), Marlene Dietrich (Tanya).
Scénario : Orson Welles, d'après le roman de Whit Masterson Badge of Evil
Photographie : Russel Metty
Décor : Russell A. Gausman, John Austin
Musique : Henry Mancini
Montage : Virgil W. Vogel, Aaron Stell
Production : Albert Zugsmith (Universal International)
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1958
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 35
Résumé
Sur la frontière mexicano-américaine, deux flics s'affrontent. L'un est le diable, mais l'autre n'est pas un saint.
Commentaire
Secrets
À présent que Welles a disparu, et avec lui l'ambition de rivaliser avec l'insurmontable, son œuvre (à peine une douzaine de films) se visite, non comme une section de musée, mais comme le labyrinthe qu'elle fut et demeure. On s'y perd, on s'y retrouve, mais, tel le Joseph K du Procès, on n'en réchappe pas. Or, que cherche K sinon le pourquoi de tant de mystère, autrement dit la raison du secret ? Et que cherche Welles lui-même, quand il s'observe, à travers l'objectif de sa propre caméra, sinon le secret, le sien, celui de son art (Vérités et Mensonges, Filming Othello) ?
Et d'ailleurs quel est le principe actif de tous ses films, sinon le secret ? Secret des puissants (Citizen Kane, la Splendeur des Amberson, la Dame de Shanghai, Monsieur Arkadin, Une histoire immortelle), secret des renégats (le Criminel), secret des jaloux (Othello), secret des bouffons (Falstaff), secret de l'État (Macbeth, le Procès). Et secret de celui qui n'est ni riche ni pauvre, mais qui a le pouvoir de distinguer le bien du mal, le flic (la Soif du mal).
Dans ce film, tiré d'un polar sans envergure, Welles, tout à son rôle de démiurge, traque une fois de plus l'innommable, l'indicible (un policier mexicain, preux chevalier, s'oppose à son collègue américain, colosse déchu). Mais qu'on n'aille pas croire à la parabole simpliste. Avec Welles – le Welles que le système a voulu détruire –, la société et l'homme ne coïncident pas nécessairement.
Ainsi le bon Samaritain emploiera pour perdre son adversaire des procédés qui le perdront à son tour. La fin ne justifie pas les moyens. D'où cette course chaotique, et humiliante, du justicier à travers un invraisemblable no man's land, tandis que le poursuivi semble, lui, survoler les obstacles.
Sans doute parce que le character, auquel on trinquait dans Monsieur Arkadin, n'est pas seulement la façon dont on est fait, mais ce qu'on décide d'être. Et même une canaille peut atteindre au sublime. Personne ne doit se réfugier derrière une idée, serait-elle juste, tous doivent prouver sa force en marchant. Il n'y a de conscience qu'individuelle, et de cinéma que fait par un seul.
De ce point de vue, la Soif du mal, avec sa débauche paroxystique de grands angles, confirme que vouloir filmer, c'est accepter de souffrir. Et parfois de mourir.
Soigne ta droite
Comédie de Jean-Luc Godard, avec Jacques Villeret, François Périer, Jane Birkin, Michel Galabru, Jacques Rufus, Pauline Lafont.
Pays : France et Suisse
Date de sortie : 1987
Technique : couleurs
Durée : 1 h 22
Prix : Prix Louis-Delluc (1987)
Résumé
Conçu à l'origine comme un travail sur la musique du groupe Les Rita Mitsuko (Catherine Ringer et Fred Chichin), ce long métrage est une suite d'histoires et de fables entremêlées.
Soir de noces
Drame de King Vidor, avec Gary Cooper, Anna Sten, Ralph Bellamy.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1935
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 23
Résumé
Un écrivain marié provoque un drame par l'intérêt qu'il porte à la fille d'immigrants polonais. Le personnage de l'écrivain est inspiré de Scott Fitzgerald.
Soirs de Miami
Comédie de Walter Lang, avec Betty Grable, Don Ameche, Robert Cummings, Charlotte Greenwood, Carole Landis, Jack Haley.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1941
Technique : couleurs
Durée : 1 h 30
Résumé
Une jeune serveuse touche un petit héritage et se rend avec sa sœur à Miami dans l'intention d'y épouser un homme riche.
Sois belle et tais-toi
Comédie policière de Marc Allégret, avec Henri Vidal, Mylène Demongeot, Darry Cowl, Béatrice Altariba.
Pays : France
Date de sortie : 1958
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 50
Résumé
Une bande de jeunes truands aide un inspecteur à arrêter un dangereux gangster.
Soixante Ans de règne
ou Soixante Ans de gloire
Film historique de Herbert Wilcox, d'après les pièces de Laurence Houseman, avec Anna Neagle, Anton Walbrook, sir C. Aubrey Smith, Walter Rilla, Charles Carson, Felix Aylmer.
Pays : Grande-Bretagne
Date de sortie : 1938
Technique : couleurs
Durée : 1 h 35
Résumé
Une nouvelle et imposante évocation du long règne de la reine Victoria constituée, pour l'essentiel, d'un montage des scènes en couleurs tournées pour le précédent film du réalisateur (voir la Reine Victoria) et non utilisées.