le Voyage de la peur
Drame d'Ida Lupino, avec Edmond O'Brien, Frank Lovejoy, William Talman.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1953
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 11
Résumé
Un criminel évadé oblige deux automobilistes à le conduire au Mexique. Suspense traditionnel mais bien mené.
le Voyage de la peur
Film d'aventures de Daniel Mann, d'après le roman d'Eric Ambler, avec Tom Waterston, Shelley Winters, Yvette Mimieux.
Pays : Canada
Date de sortie : 1974
Technique : couleurs
Durée : 1 h 39
Résumé
Deux ingénieurs américains séjournant en Turquie sont la cible de tueurs.
Voir aussi Voyage au pays de la peur.
le Voyage de Monsieur Perrichon
Comédie dramatique de Jean Tarride, d'après la pièce d'Eugène Labiche et Édouard Martin, avec Léon Bélières, Jeanne Cheirel, Raymonde Allain, Arletty, André Roanne.
Pays : France
Date de sortie : 1934
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 30
Résumé
Un couple de bourgeois en voyage avec leur fille est suivi par les deux prétendants de celle-ci. Le père sauve l'un d'eux d'un accident, et est lui-même secouru par l'autre, mais sa préférence ira au premier, tandis que sa fille aime le second.
le Voyage de noces
Comédie dramatique de Nadine Trintignant, avec Jean-Louis Trintignant, Stefania Sandrelli, François Marthouret, Guy Marchand, Serge Marquand.
Pays : France et Italie
Date de sortie : 1976
Technique : couleurs
Durée : 1 h 35
Résumé
Un photographe de presse, trompé par son épouse, cherche à lui faire avouer sa faute au cours d'un second « voyage de noces ». Le but atteint, il se sépare d'elle, puis la retrouve.
le Voyage des comédiens
Film politique de Theo Angelopoulos, avec Eva Kotamanodou (Électre), Aliki Georgouli (la mère), Stratos Pachi (le père), Mara Vassiliou (Chrysothemis), Petros Zarkadis (Oreste), Vangelis Kazan (Egisthe).
Scénario : Theo Angelopoulos
Photographie : Ghiorgos Arvanitis
Décor : Mikis Karapiperis, Ghiorgos Patsas
Musique : Lukianos Kilaidonis
Montage : Takis Davlopoulos
Production : Ghiorgos Papalios
Pays : Grèce
Date de sortie : 1975
Technique : couleurs
Durée : 3 h 50
Résumé
Au début du film, à l'automne 1952, neuf hommes et femmes arrivent dans une petite gare du Péloponnèse. Près de quatre heures de projection plus tard, et treize ans plus tôt, les comédiens, plus jeunes et plus nombreux, apparaissent tout aussi fatigués, dans la même gare. Entre ce point d'arrivée et ce point de départ, le film s'articule sur trois plans : la représentation fragmentaire et sans cesse interrompue d'un drame pastoral, la vie d'une troupe de comédiens dont les aventures individuelles et collectives recoupent le mythe des Atrides et enfin l'histoire de la Grèce, de la dictature de Métaxas à l'arrivée au pouvoir du maréchal Papagos, en passant par l'occupation nazie et la guerre civile.
Commentaire
La primauté du spectacle
Le Voyage des comédiens est à la fois une des œuvres marquantes du cinéma des années 1970, le film qui a définitivement établi Theo Angelopoulos comme l'un des grands réalisateurs de son temps, et une fresque épique exemplaire, aboutissement des recherches esthétiques jointes à une interrogation politique qui ont caractérisé toute une tendance du cinéma contemporain éprise de modernité.
Angelopoulos n'a pas caché ses admirations de cinéphile – Antonioni, Jancsó, Oshima – et son style – mise en scène frontale, utilisation systématique du plan-séquence, espace off – en témoigne, mais l'œuvre n'en est pas moins unique dans sa volonté totalisante qui mêle le passé et le présent, l'imaginaire et le réel, le fantasme et le politique. La caméra glisse d'un registre à un autre, réalise sans solution de continuité l'unité entre diverses périodes. La mise en scène relève de l'ordre du rituel et, comme dans plusieurs œuvres essentielles du cinéma moderne, se veut questionnement de l'impression de réalité et interrogation sur la notion même de spectacle. Chez Angelopoulos, en effet, tout est représentation, même les actes sexuels – (l'inconscient jouera un rôle accru dans le film suivant, les Chasseurs) – strip-tease d'un phalangiste face à Électre, masturbation d'un collaborateur, viol d'une femme qui relient la psychanalyse au politique. Les défilés militaires comme les manifestations participent de cet ordre du théâtral et il n'est pas jusqu'à une scène collective sur une plage qui ne relève du spectacle, en l'occurrence la comédie musicale dont Angelopoulos est un grand amateur.
Mais, dans un même mouvement, son film est profondément concret. Grâce au travail exceptionnel de son chef-opérateur, Ghiorgos Arvanitis, il nous fait sentir le passage des saisons, jouant sur une gamme de tons sourds – de l'ocre au gris – pour mieux chanter la présence des pierres et des murs, des ciels lourds et des chemins rocailleux. Film complexe, le Voyage des comédiens établit un équilibre rare entre le formalisme et la réalité, entre le foisonnement de ses signes et la rigueur de son architecture.
le Voyage des damnés
Drame de Stuart Rosenberg, d'après le livre de Gordon Thomas et Max Morgan-Witts, avec Faye Dunaway, Max von Sydow, Orson Welles, Oskar Werner, Malcolm McDowell, James Mason, Maria Schell, Ben Gazzara, Lee Grant.
Pays : Grande-Bretagne
Date de sortie : 1976
Technique : couleurs
Durée : 2 h 38
Résumé
En 1939, l'Allemagne prouve sa bonne foi : un paquebot emporte des Juifs allemands vers Cuba, qui ne veut pas les recevoir. À bord, les passagers espèrent, désespèrent, s'aiment, se suicident, se révoltent en vain.
le Voyage du père
Drame de Denys de La Patellière, d'après le roman de Bernard Clavel, avec Fernandel, Lilli Palmer, Laurent Terzieff, Philippe Noiret, Madeleine Robinson, Michel Auclair.
Pays : France
Date de sortie : 1966
Technique : couleurs
Durée : 1 h 35
Résumé
Des paysans décident de tenter l'impossible pour retrouver leur fille de 18 ans, partie pour Lyon depuis deux ans : elle est devenue prostituée. Un mélodrame à la française.
le Voyage en ballon
Film musical d'Albert Lamorisse, avec Pascal Lamorisse, André Gille, Maurice Baquet.
Pays : France
Date de sortie : 1960
Technique : couleurs
Durée : 1 h 25
Prix : Prix de l'O.C.I.C., Venise (1960)
Résumé
L'Hélivision (caméra sur hélicoptère) est le procédé employé pour conter le poétique voyage en ballon dirigeable d'un grand-père et de son petit-fils qui survolent la France.