les Visiteurs en Amérique
Comédie de Jean-Marie Gaubert, avec Jean Reno, Christian Clavier, Christina Applegate, Malcolm McDowell, Matthew Ross.
Pays : France
Date de sortie : 2001
Technique : couleurs
Durée : 1 h 35
Résumé
Dans ce troisième, et probablement dernier volet des Visiteurs, Thibault de Malfète et son serviteur André le Pâté se promènent entre l'Angleterre de la guerre de Cent Ans et le Chicago d'aujourd'hui. Mais en traversant l'Atlantique nos héros ont un peu perdu pied et le film n'a plu ni aux États-Unis, ni en Europe.
les Vitelloni
Comédie dramatique de Federico Fellini, avec Franco Interlenghi (Moraldo), Alberto Sordi (Alberto), Franco Fabrizi (Fausto), Leopoldo Trieste (Leopoldo), Riccardo Fellini (Riccardo).
Scénario : Federico Fellini, Tullio Pinelli, Ennio Flaiano
Photographie : Otello Martini, Luciano Trasatti, Carlo Carlini
Décor : Mario Chiari
Musique : Nino Rota
Montage : Rolando Benedetti
Pays : Italie
Date de sortie : 1953
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 43
Résumé
Dans une petite station des bords de l'Adriatique, les « vitelloni » traînent leur désœuvrement. Ces « grands veaux », qui avoisinent la trentaine, passent leur temps à échafauder des plans de gloire ou d'amour qu'ils ne réaliseront jamais. La vraie vie s'écoule ailleurs, sans eux, loin d'eux ; ils en ont une conscience vaguement attristée, mais la famille est là pour recueillir ces enfants attardés.
Commentaire
Avec l'entrée de Nino Rota parmi ses collaborateurs, l'équipe magique des grands succès de Fellini est constituée. Ce film est un petit chef-d'œuvre de sensibilité, dans lequel Fellini règle sans doute quelques comptes avec sa propre jeunesse.
Viva la muerte
Drame de Fernando Arrabal, avec Marie Espert, Ivan Henriques, Anouk Ferjac, Mahdi Chaouch.
Pays : France et Tunisie
Date de sortie : 1971
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 30
Résumé
À la fin de la guerre civile espagnole, un jeune homme tuberculeux découvre que son père, qui a été arrêté et qui a tenté de se suicider, a été dénoncé par sa femme. Il refuse de croire à sa mort et part à sa recherche, soutenu par son amie.
Viva Las Vegas
Comédie musicale de Roy Rowland, avec Cyd Charisse, Dan Dailey, Agnes Moorehead.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1956
Technique : couleurs
Durée : 1 h 52
Résumé
À Las Vegas, la chance tourne pour un joueur lorsqu'il rencontre une belle danseuse. Un rythme étourdissant.
Viva la vie
Comédie dramatique de Claude Lelouch, avec Charlotte Rampling, Michel Piccoli, Jean-Louis Trintignant.
Pays : France
Date de sortie : 1983
Technique : couleurs
Durée : 1 h 47
Résumé
Le P.-D.G. d'une multinationale et une comédienne sont soi-disant élus par des extraterrestres pour délivrer un message à l'humanité menacée par l'apocalypse nucléaire.
Viva l'Italia
Film historique de Roberto Rossellini, avec Renzo Ricci, Paolo Stoppa, Giovanna Ralli.
Pays : Italie et France
Date de sortie : 1961
Technique : couleurs
Durée : 2 h 08
Résumé
Les exploits de Garibaldi racontés lors du centenaire de l'unité de l'Italie. Le premier essai de télévision didactique du cinéaste.
Viva Maria
Comédie de Louis Malle, avec Brigitte Bardot, Jeanne Moreau, George Hamilton, Paulette Dubost.
Pays : France et Italie
Date de sortie : 1965
Technique : couleurs
Durée : 2 h
Résumé
La fille d'un terroriste irlandais est recrutée par une troupe de music-hall qui parcourt l'Amérique du Sud, dans des États troublés par de perpétuelles révolutions… Charme, gaieté… Un régal.
Viva Villa
Biographie historique de Jack Conway et Howard Hawks, avec Wallace Beery (Pancho Villa), Fay Wray (Theresa), Leo Carillo (Sierra), Stuart Erwin (Johnny Sykes), Donald Cook (don Felipe), George E. Stone (Chavito).
Scénario : Ben Hecht, d'après le livre d'Edgcumb Pinchon et O.B. Stade
Photographie : James Wong Howe, Charles G. Clarke
Décor : Harry Oliver
Musique : Herbert Stothart
Montage : Robert J. Kern
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1934
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 55
Résumé
Ulcéré par le meurtre de son père, Pancho Villa s'est fait bandit. Il capture un journaliste américain qui sera son historiographe, et Francisco Madero vient donner à sa révolte un sens politique. Après l'assassinat de ce libérateur, Villa sort de son exil et conquiert brutalement le pouvoir pour appliquer la réforme agraire. Puis il se retire et meurt à son tour assassiné.
Commentaire
Howard Hawks avait préparé et, pour moitié, tourné ce romancero du révolutionnaire mexicain avant que L.B. Mayer ne lui substituât Conway. Sensible à la misère, à l'exaltation de la révolte et de l'aventure, au pittoresque de l'action, le film montre aussi la solitude pathétique d'un conquérant illettré, créateur d'une Histoire qui lui échappe.
Autre film sur le célèbre bandit mexicain :
Pancho Villa, d'Eugenio Martin, avec Telly Savalas, Clint Walker, Chuck Connors.
Pays : Espagne
Date de sortie : 1972
Technique : couleurs
Durée : 1 h 33
Voir aussi Pancho Villa.
Viva Zapata
Film historique d'Elia Kazan, avec Marlon Brando (Emiliano Zapata), Anthony Quinn (Eufemio Zapata), Jean Peters (Josefa), Joseph Wiseman (Fernando Aguirre), Alan Reed (Pancho Villa).
Scénario : John Steinbeck, d'après le roman d'Edgcumb Pinchon Zapata the Unconquered
Photographie : Joe Mac Donald
Décor : Lyle Wheeler, Leland Fuller
Musique : Alex North
Montage : Barbara McLean
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1952
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 53
Résumé
Au début du XXe siècle, le Mexique est soumis à la dictature de Porfirio Diaz. Les paysans, spoliés, s'organisent en maquis sous la conduite d'un chef farouche : Zapata. Les insurgés harcèlent l'armée régulière, non sans succès. Les présidents de la République se succèdent. Zapata lui-même connaît l'ivresse du pouvoir suprême, un pouvoir qui l'inquiète et l'incite à retourner près du peuple. Il sera victime d'un guet-apens, mais vivra éternellement en tant que symbole de la Révolution permanente.
Commentaire
Plus qu'un film véritablement historique, il s'agit d'une épopée, hymne lyrique à la Révolution en tant qu'idéal. À travers l'action, les opérations de commando, les intrigues politiques, les pièges de la volonté de puissance, les auteurs ont inventorié les cent problèmes idéologiques qui tournent autour de la démocratie et de la responsabilité du pouvoir. Mais ce n'est pas une œuvre à thèse. C'est un chant d'une beauté formelle saisissante. Marlon Brando y fait une composition remarquable.