Sept Ans au Tibet
Biographie de Jean-Jacques Annaud, d'après le récit de Heinrich Harrer, avec Brad Pitt, David Thewlis, Jamyang Wangchuck.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1997
Technique : couleurs
Durée : 2 h 15
Résumé
Surpris en Inde par le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, un jeune alpiniste autrichien est interné par les Anglais dans un camp de prisonniers. Il réussit à s'enfuir au Tibet, où il deviendra l'ami du dalaï-lama. Somptueuses balades sur le « toit du monde ».
Sept Ans de malheur
Film burlesque de Max Linder, avec Max Linder (Max), Thema Peray (la fiancée), Alta Allen, Harry Mann, Betty Petersen.
Scénario : Max Linder
Photographie : Paul Irano
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1921
Technique : noir et blanc
Durée : 800 m (environ 30 min)
Résumé
Max se réveille dans sa somptueuse demeure, après avoir trop joyeusement enterré sa vie de garçon. Son serviteur brise son miroir alors que Max s'apprête à se raser. Les malheurs se mettent à pleuvoir sur lui. Sa fiancée le quitte, il fait un voyage rocambolesque avant de la retrouver en train d'épouser son meilleur ami. Il se réveille d'un cauchemar. Happy end.
Commentaire
La brève carrière américaine du si français Max Linder contient peut-être ses meilleures réussites. Ce film-ci a la logique d'un cauchemar puisqu'il s'agit d'un rêve. Max, après avoir perdu son billet de train et son portefeuille, est obligé de se déguiser en nègre, terrorise une passagère du train, est arrêté par un singe habillé en policier, se retrouve dans une cage à lions. Il enchaîne les désastres sans avoir le temps de réagir, les recevant avec une inertie qui anticipe sur Keaton. Le gag le plus célèbre est celui où le valet de Max brise le miroir, en commande un autre et, en attendant, prend la place du reflet, après s'être fait une tête à la Max Linder. Ce gag a été repris dans de nombreux films, notamment par les Marx Brothers, ainsi que par la publicité.
Sept Ans de réflexion
Comédie de Billy Wilder, avec Marilyn Monroe (la « fille »), Tom Ewell (Richard Shermann), Evelyn Keyes (Helen Shermann), Robert Strauss (Krahulik), Oscar Homolka (Dr Brubaker), Victor Moore (le plombier).
Scénario : Billy Wilder, George Axelrod, d'après sa pièce
Photographie : Milton Krasner
Décor : Lyle Wheeler, George W. Davis
Musique : Alfred Newman
Montage : Hugh S. Fowler
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1955
Technique : couleurs
Durée : 1 h 45
Résumé
New York, l'été. Richard Shermann, mari modèle, se jure sagesse et chasteté après le départ en vacances de sa famille. Mais au-dessus de chez lui habite une ravissante blonde…
Commentaire
Outre l'image universellement célèbre de la robe de Marilyn soulevée par l'air du métro new-yorkais (séquence retournée en studio à cause d'une panique sans précédent lors de la prise de vue en extérieurs), on retiendra de cet immense succès les phantasmes cinéphiliques de Tom Ewell (en particulier la parodie de Tant qu'il y aura des hommes).
les Sept Chemins du couchant
Western de Harry Keller, avec Audie Murphy, Barry Sullivan, Venetia Stevenson.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1960
Technique : couleurs
Durée : 1 h 27
Résumé
Au fil d'aventures mouvementées, l'étrange amitié entre un dangereux tueur et le Texas Ranger chargé de l'arrêter.
Sept contre la mort
Drame psychologique d'Edgar G. Ulmer et Paolo Bianchini, avec Rosanna Schiaffino, John Saxon, Brian Aherne, Nino Castelnuovo, Hans von Borsody, Larry Hagman, Peter Marshall.
Pays : Italie, États-Unis et R.F.A.
Date de sortie : 1965
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 40
Résumé
En Italie, en 1944, six soldats de diverses nationalités et une jeune paysanne italienne se trouvent bloqués au fond d'une grotte après un bombardement.
Septembre
Drame de Woody Allen, avec Denholm Eliott, Dianne Wiest, Mia Farrow.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1987
Technique : couleurs
Durée : 1 h 22
Résumé
À l'heure où l'été s'achève, la mélancolie s'insinue dans une maison de la Nouvelle-Angleterre dont la jeune propriétaire est amoureuse d'un hôte déjà épris de sa meilleure amie.
Sept Épées pour le roi
Film d'aventures de Riccardo Freda, avec Brett Halsey, Béatrice Altariba.
Pays : Italie
Date de sortie : 1963
Technique : couleurs
Durée : 1 h 34
Résumé
De retour de guerre, le comte Carlos de Bazan découvre que son titre et ses terres ont été pris par son cousin, lequel complote contre le roi. Carlos entre alors en lutte contre lui.
les Sept Femmes de Barberousse
Comédie musicale de Stanley Donen, avec Howard Kell, Jane Powell, Jeff Richards, Russ Tamblyn.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1954
Technique : couleurs
Durée : 1 h 43
Résumé
Dans l'Oregon vers 1850, sept frères, de rudes fermiers, décident de prendre femmes. Ils partent en expédition dans les villages voisins. Le légendaire enlèvement des Sabines inspire cette comédie musicale dynamique et colorée.
Sept fois femme
Comédie de Vittorio De Sica, avec Shirley MacLaine, Peter Sellers, Rossano Brazzi, Vittorio Gassman, Lex Barker, Michael Caine, Philippe Noiret.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1967
Technique : couleurs
Durée : 1 h 40
Résumé
Sept sketches illustrant sept aspects de la femme : romantique, réaliste, impudique, volage, jalouse, capricieuse, amoureuse.
Sept Heures avant la frontière
Film d'aventures d'Anthony Asquith, avec David Niven, Leslie Caron, James Robertson Justice.
Pays : Grande-Bretagne
Date de sortie : 1962
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 42
Résumé
Le Britannique Tom Jordon dirige une plantation dans un pays d'Amérique du Sud. Un jour, après un coup d'État, il retrouve dans sa voiture l'ancien président, blessé.
Sept Hommes à abattre
Western de Budd Boetticher, avec Randolph Scott (Ben Stride), Lee Marvin (Big Mostera), John Larch (Pate Bodeen), Stuart Whitman (le lieutenant), Gail Russell (Annie Greer).
Scénario : Burt Kennedy
Photographie : William H. Clothier
Décor : Leslie Thomas
Musique : Henry Vard
Montage : Everett Sutherland
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1957
Technique : couleurs
Durée : 1 h 25
Résumé
Un shérif part à la poursuite de sept bandits qui ont assassiné son épouse. Il va les rattraper et les tuer les uns après les autres.
Commentaire
Sur un scénario dont la linéarité est exemplaire, jusqu'à l'épure, Boetticher a signé un western que d'aucuns, comme André Bazin, considèrent comme le plus important de l'après-guerre. Loin des préoccupations psychologisantes qui marquaient le genre à l'époque (au point qu'on parlait de sur-western), le film se cantonne dans une étude de comportements. Interprété par Randolph Scott et premier d'une série exemplaire où acteur, réalisateur, scénariste et producteur (souvent Scott lui-même) formeront une osmose totale pour aboutir à une unité remarquable, Sept Hommes à abattre montrait les possibilités du genre et, en le magnifiant, le niait totalement. Car il s'agit moins d'un western, fût-il particulièrement réussi, que d'un pur chef-d'œuvre.