le Renard des océans
Film d'aventures de John Farrow, avec John Wayne, Lana Turner, David Farrar, Lyle Bettger.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1955
Technique : couleurs
Durée : 1 h 57
Résumé
De Sydney jusqu'à la mer du Nord, à bord d'un cargo allemand, le capitaine et l'espionne qu'il a prise à son bord vivent de palpitantes aventures.
le Renard du désert
Film historique de Henry Hathaway, avec James Mason, Cedric Hardwicke, Jessica Tandy.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1951
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 28
Résumé
Évocation des dernières années de la vie de Rommel : son retrait d'Afrique du Nord et son retour en Allemagne, son opposition à Hitler et finalement son suicide. James Mason incarne sans reproche un personnage présenté ici comme un héros…
la Renarde
Comédie dramatique de Michael Powell et Emeric Pressburger, d'après le roman de Mary Webb, avec Jennifer Jones, David Farrar, Cyril Cusack.
Pays : Grande-Bretagne
Date de sortie : 1950
Technique : couleurs
Durée : 1 h 22
Résumé
Dans la vieille Angleterre du XIXe siècle, sortilèges et superstition autour d'une jeune fille qui a apprivoisé un renardeau.
Rencontres avec des hommes remarquables
Chronique de Peter Brook, d'après le livre de Georges Gurdjieff, avec Dragan Maksimović, Terence Stamp, Mikica Dimitrijević.
Pays : Grande-Bretagne
Date de sortie : 1979
Technique : couleurs
Durée : 1 h 47
Résumé
La marche initiatique de Georges Gurdjieff vers la « connaissance ». L'aventure intérieure de toute une vie jalonnée de personnages en quête de spiritualité.
Rencontres du troisième type
Film de science-fiction de Steven Spielberg, avec Richard Dreyfuss (Roy Neary), François Truffaut (Claude Lacombe), Teri Garr (Ronnie Neary), Melinda Dillon (Jillian Guiler), Cary Guffey (Barry Guiler), Bob Balaban (Laughlin, l'interprète).
Scénario : Steven Spielberg
Photographie : Vilmos Zsigmond
Décor : Joe Alves, Dan Lomino
Musique : John Williams
Montage : Michael Kahn
Production : Julia et Michael Phillips (Columbia)
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1977
Technique : couleurs
Durée : 2 h 15
Résumé
Des manifestations troublantes se multiplient à travers le monde, annonçant la venue imminente d'extraterrestres : au Nouveau-Mexique, une dizaine d'avions militaires, portés disparus au cours de la Seconde Guerre mondiale, sont retrouvés en parfait état de marche ; des contrôleurs aériens observent un passage d'Ovnis ; une tribu tibétaine découvre un navire échoué au milieu du désert ; sous toutes les latitudes, des hommes et des femmes sont envoûtés par la même étrange mélodie et, une nuit, un garçonnet de l'Indiana, Barry Guiler, s'élève dans les cieux, emporté par une force irrésistible…
Le dépanneur Roy Neary est parmi les premiers à voir de près un groupe de soucoupes volantes survolant une autoroute en un gracieux ballet. Tandis que sa famille, incrédule, s'efforce de le ramener à la « raison », Roy cède à une irrésistible obsession : jour après jour, comme la mère de Barry, il dessine et remodèle la même forme mystérieuse. La clé de ce message d'un autre monde lui est enfin donnée. Roy, bravant les consignes des services de sécurité, part alors à la rencontre des extraterrestres…
Commentaire
Les éblouissements juvéniles d'un homme
La science-fiction des années 1950 exploitait la peur de l'inconnu, celle des années 1970 invite à la découverte de mondes nouveaux. Prototype parfait de l'Américain moyen, Neary est investi d'une mission qui le dépasse, l'entraîne vers un but mystérieux, balayant tous les obstacles psychologiques, matériels, sociaux et familiaux qui se dressent sur sa route. Son enthousiasme candide, mais rien moins qu'aveugle, l'arrache inexorablement aux siens, et l'insère dans une chaîne de personnages enfantins (Barry, Lacombe, les extraterrestres) qui partagent son aptitude à l'émerveillement.
La grande force du cinéma spielbergien est de concrétiser ces notions en termes physiques profus et immédiatement accessibles : messages sonores, jeux de lumières, amples panoramiques, longs travellings sur des personnages en marche, des véhicules en mouvement, etc. Chantre du merveilleux, Spielberg ignore les défauts majeurs de ceux qui opèrent dans ce registre : la mièvrerie sentimentale et le prosélytisme verbeux. À l'exception d'un final étrangement plat, Rencontres du troisième type est un film authentiquement adulte, nuancé et équilibré – l'œuvre d'un créateur qui a su préserver ses éblouissements juvéniles et les restituer à travers sa sensibilité d'homme.
Un deuxième montage fut distribué sous le titre : Rencontres du troisième type édition spéciale en 1980 – 2 h 12
Rendez-vous
Drame d'André Téchiné, avec Lambert Wilson, Juliette Binoche, Wadeck Stanczak, Jean-Louis Trintignant.
Pays : France
Date de sortie : 1985
Technique : couleurs
Durée : 1 h 22
Résumé
Nina, jeune actrice, rencontre à Paris Paulot le timide et Quentin l'écorché, avec lesquels elle connaît des amours tumultueuses.
le Rendez-vous
Drame psychologique de Sidney Lumet, avec Omar Sharif, Anouk Aimée, Lotte Lenya.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1969
Technique : couleurs
Durée : 1 h 50
Résumé
Il a épousé par amour un mannequin, mais une jalousie maladive vient troubler ce bonheur, jusqu'au drame. Le thème d'Othello dans la Rome d'aujourd'hui.
Rendez-vous à Bray
Drame psychologique d'André Delvaux, avec Mathieu Carrière (Julien), Anna Karina (la jeune femme de La Fougeraie), Roger Van Hool (Jacques), Bulle Ogier (Odile).
Scénario : André Delvaux, d'après une nouvelle de Julien Gracq
Photographie : Ghislain Cloquet
Décor : Claude Pignot
Musique : Johannes Brahms, César Franck, Frédérick Devreese
Montage : Nicole Berckmans
Pays : France et Belgique
Date de sortie : 1971
Technique : couleurs
Durée : 1 h 30
Prix : Prix Louis-Delluc (1971)
Résumé
Resté à Paris en 1917, alors que son ami Jacques s'est engagé dans l'aviation, Julien, un Luxembourgeois, est critique musical. Jacques lui ayant fixé un mystérieux rendez-vous à Bray, non loin du front de Somme, Julien se rend dans cette villa de La Fougeraie où les deux amis ont vécu une intense relation. Il y est accueilli par une étrange jeune femme silencieuse qui le fait patienter, puis lui sert à dîner. Julien revoit en pensée les riches heures de leur jeunesse, et Odile, leur commun amour. Jacques ne viendra pas. Au terme de la nuit, pendant laquelle la jeune femme s'est offerte à lui, Julien quitte La Fougeraie.
Commentaire
Film d'atmosphère et de poésie du souvenir, où le non-dit est sans doute plus important que l'exprimé. L'ensemble reste cependant quelque peu froid, malgré le raffinement des sentiments.