les Amazones
Film d'aventures de Terence Young, avec Alena Johnston, Sabine Sun, Angelo Infanti, Luciana Paluzzi, Malissa Longo.
Pays : Italie, France et Espagne
Date de sortie : 1974
Technique : couleurs
Durée : 1 h 30
Résumé
Les Amazones, guerrières lesbiennes qui exècrent les hommes, s'attaquent cette fois-ci aux Grecs. Mais l'armée féminine est vaincue et leur reine devient l'esclave du chef.
les Ambassadeurs
Drame de Naceur Ktari, avec Sid Ali Kouiret, Jacques Rispal, Tahar Kebaili, Marcel Cuvelier, Mohamed Hamam, Dominique Lacarrière.
Pays : France, Tunisie et Libye
Date de sortie : 1975
Technique : couleurs
Durée : 1 h 40
Résumé
Le quartier de la Goutte d'Or, à Paris. Chômage, indifférence, racisme, déracinement, tel est le lot quotidien des travailleurs immigrés, représentants bien mal traités de leur pays.
l'Ambitieuse
Drame d'Yves Allégret, d'après le roman de François Ponthier, avec Andréa Parisy, Edmond O'Brien, Richard Basehart, Nicole Berger, Jean Marchat.
Pays : France, Italie et Australie
Date de sortie : 1959
Technique : couleurs
Durée : 1 h 35
Résumé
Une femme qui débarque avec son mari en Polynésie pour y faire fortune devient la maîtresse de son patron et rachète une mine. Lorsque son époux veut divorcer, elle tente de le faire assassiner, puis elle se fait tuer en essayant de le sauver.
l'Ambitieuse
Drame psychologique de Curtis Bernhardt, avec Bette Davis, Barry Sullivan, Jane Cowl, Frances Dee.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1951
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 30
Résumé
Son ambition et sa cupidité risquent de faire perdre à une femme (Bette Davis) l'amour de son mari.
les Ambitieux
Drame d'Edward Dmytryk, avec George Peppard, Carroll Baker, Alan Ladd, Martin Balsam.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1964
Technique : couleurs
Durée : 2 h 30
Résumé
Un jeune homme brillant hérite des biens de son père. Il se lance dans les affaires et devient un véritable tyran, avant de devoir se remettre dramatiquement en question. Alan Ladd, dans un second rôle, réussit une belle prestation pour son dernier film.
Ambre
Mélodrame d'Otto Preminger, d'après le roman de Kathleen Windsor, avec Linda Darnell, Cornel Wilde, Richard Greene, George Sanders.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1947
Technique : couleurs
Durée : 2 h 20
Résumé
Au XVIIe siècle, en Angleterre, une petite paysanne ambitieuse se lie avec un noble aventurier. Lorsqu'il la quitte, elle vit de galantes aventures qui la conduisent à devenir la favorite du roi.
Ambulances tous risques
Comédie de Peter Yates, avec Bill Cosby, Raquel Welch, Harvey Keitel.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1975
Technique : couleurs
Durée : 1 h 37
Résumé
Un ex-policier entre au service d'une société d'ambulances et parvient à séduire la pulpeuse standardiste. Il reprend son ancien métier et sa conquête fera désormais équipe avec le champion des conducteurs.
l'Âme des guerriers
Drame psychologique de Lee Tamahori, d'après le roman d'Alan Duff, avec Rena Owen, Temuera Morrisson, Mamaengaroa Kerr-Bell.
Pays : Nouvelle-Zélande
Date de sortie : 1994
Technique : couleurs
Durée : 1 h 50
Prix : meilleur premier film, Venise (1994)
Résumé
Cela commence sur un air bien connu : banlieue déglinguée, femmes battues, ivrognerie, bagarres, jeunes glissant vers la délinquance. Mais on s'aperçoit vite que l'on n'est pas dans l'habituel ghetto noir américain : l'action se passe à Auckland, Nouvelle-Zélande, et la plupart des protagonistes sont en fait maoris. La mère, Beth, a gardé une fierté de fille de guerrier et en vient peu à peu à mépriser Jake qui, lui, est noir, « fils d'esclave », alcoolique, irresponsable et brutal. Courageusement, elle essaie d'élever tant bien que mal ses enfants, mais la situation familiale se grippe définitivement lorsque l'une des filles est violée par un compagnon de beuverie du père. Une exaltation de l'orgueil ethnique maori sur fond de déstructuration urbaine et sociale. Insolite et prenant.
Amélie ou le Temps d'aimer
Drame sentimental de Michel Drach, avec Marie-José Nat, Jean Sorel, Clotilde Joano.
Pays : France
Date de sortie : 1961
Technique : noir et blanc
Durée : 1 h 50
Résumé
Au pied du Mont-Saint-Michel, Amélie, jeune orpheline, est amoureuse de son cousin qui ne rêve que mer et voyages. Amélie part à Paris où elle mourra de chagrin.
Amen
Drame historique de Costa-Gavras, avec Ulrich Tukur (Kurt Gerstein), Mathieu Kassovitz (Riccardo Fontana), Ulrich Mühe (le docteur), Michel Duchaussoy (le cardinal).
Scénario : Costa-Gavras, Jean-Claude Grumberg, d'après la pièce de Rolf Hochhuth Le Vicaire
Photographie : Patrick Blossier
Décor : Hari Hantke, Maria Miu
Costumes : Édith Vespérini
Musique : Armand Amar
Montage : Olivier Gourlay, Agathe Cauvin
Pays : France
Date de sortie : 2002
Technique : Couleurs
Durée : 2 h 10
Résumé
Un jeune officier des Waffen SS découvre pendant la Seconde Guerre mondiale ce qui se passe dans les prétendus camps de travail où sont déportés les juifs. Révolté, il va s'employer à faire savoir ce qu'il a vu à ses coreligionnaires protestants, aux diplomates étrangers et à l'Église catholique afin qu'un immense mouvement d'indignation oblige les nazis à mettre fin à leur campagne d'extermination. Il ne réussit qu'à convaincre un jeune jésuite, très introduit au Vatican, qui va essayer d'amener le pape Pie XII à condamner solennellement l'holocauste. En vain.
Commentaire
Il est toujours périlleux de présenter dans le cadre d'un film le comportement de gens pris dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. Il est en effet tentant, à la lumière de ce que l'on sait maintenant, de présenter comme des criminels tous ceux qui ont manqué de clairvoyance ou de courage et de tomber ainsi dans un manichéisme irréaliste. Son affiche mise à part, Amen évite cet écueil et présente une problématique crédible. Soit deux « justes » pour lesquels la priorité absolue est d'arrêter l'holocauste en exerçant toutes les pressions possibles sur Hitler. En face : 1) des Allemands bombardés quotidiennement et anesthésiés par une propagande nationaliste qui les incite à refuser de croire tout ce qui pourrait affaiblir le Troisième Reich en guerre 2) un Vatican, paralysé par la crainte de perdre, en dénonçant spectaculairement l'horreur de la Solution finale, l'influence humanitaire marginale qu'il conserve dans l'Europe occupée, et convaincu par ailleurs que le communisme de Staline représente une menace encore plus grave que le nazisme de Hitler 3) des Alliés qui pensent qu'il ne faut pas disperser l'effort de guerre en détruisant la logistique des camps d'extermination mais qu'il faut d'abord écraser l'Allemagne nazie. Tous ces points de vue, ces peurs, ces ambiguïtés, sont incarnés par des personnages convaincants, attachants et qui sonnent vrai jusqu'à la fin, troublante : le génocide est terminé mais les « justes » sont morts et des criminels de guerre sont aimablement exfiltrés par des prélats peu curieux ou étrangement bienveillants.