Les six clubs de la Nationale B (les deux groupes n'ayant pas été confrontés, aucun classement n'est possible) et les quatre premiers au classement du championnat constitueront la 1^re division nationale, forte donc de dix clubs, de la saison 1979-80.

Dames

1. ASU Lyon, 21 pts (28-21) ; 2. PTT Montpellier, 19 pts (28-21) ; 3. Paris UC, 18 pts (25-23) ; 4. CSM Clamart, 15 pts (17-32).

Championnats du monde

Classement

Messieurs
(Italie, 20 septembre - 1^er octobre 1978)

1. URSS ; 2. Italie ; 3. Cuba ; 4. Corée du Sud ; 5. Tchécoslovaquie ; 6. Brésil ; 7. Chine ; 8. Pologne ; 9. RDA ; 10. Bulgarie ; 11. Japon ; 12. Mexique ; 13. Roumanie ; 14. Hongrie ; 15. France ; 16. Pays-Bas ; 17. Finlande ; 18. Belgique ; 19. États-Unis ; 20. Canada ; 21. Venezuela ; 22. Argentine ; 23. Égypte ; 24. Tunisie.

Dames
(URSS, 26 août - 6 septembre 1978)

1. Cuba ; 2. Japon ; 3. URSS ; 4. Corée du Sud ; 5. États-Unis ; 6. Chine ; 7. Brésil ; 8. RDA ; 9. Bulgarie ; 10. Pérou ; 11. Pologne ; 12. Tchécoslovaquie ; 13. Hongrie ; 14. Canada ; 15. Mexique ; 16. Yougoslavie ; 17. Pays-Bas ; 18. RFA ; 19. République Dominicaine ; 20. Italie ; 21. Finlande ; 22. Belgique ; 23. Tunisie.

Voile

La course au large est au goût du jour. Deux épreuves retiennent, cette année, l'attention du public. La Route du rhum d'abord (course en solitaire, Saint-Malo-Pointe-à-Pitre, 5-28 décembre 1978), où le Canadien Michael Birch mène son trimaran à la victoire, battant Michel Malinovsky de 98 secondes. On déplore, au cours de l'épreuve, la disparition corps et biens d'Alain Colas sur son Manureva (l'ancien trimaran Pen Duick IV d'Éric Tabarly).

La Transat en double ensuite (Lorient-les Bermudes-Lorient, 26 mai-29 juin 1979) où la publicité et les médias comme sponsors et organisateurs font une entrée remarquée. Par satellite et grâce au système Argos, chacun peut suivre le parcours aller remarquable de Kriter V, monocoque barré par Michel Malinovsky et Pierre Lenormand, et vivre, pratiquement en direct, la remontée extraordinaire d'Eugène Riguidel et Gilles Gahinet sur Éric Tabarly et Marc Pajot.

Plus évolué technologiquement, Paul-Ricard a certainement perdu la course par manque de voiles de rechange. VSD a pris l'option, et le risque, de s'arrêter aux Bermudes pour réparer une avarie ; les vents lui ont donné raison, et il a franchi la ligne d'arrivée à Lorient avec 5 minutes 42 secondes d'avance sur Paul-Ricard.