Président : Jean-Luc Gréau.

Créé en décembre 1968, réunit divers mouvements modérés qui avaient vu le jour à Paris lors des événements de mai-juin. Se veut « politique, mais non partisan », et prône une participation « critique et responsable » des étudiants à la vie de l'Université. Est animé notamment par des jeunes gaullistes.

Créés en mai 1968 dans les facultés, les quartiers et certains secteurs professionnels. Ils rassemblent des militants révolutionnaires appartenant à des mouvements divers d'extrême gauche. Au cours de l'année scolaire 1968-69 les Comités d'action ont souvent pris l'initiative de l'agitation révolutionnaire du milieu étudiant. Les Comités d'action étudiants ont refusé de s'intégrer à l'UNEF, bien qu'ils aient assisté au congrès de cette organisation en décembre 1968.

Créé au moment des événements de mai-juin 1968 par quelques étudiants en droit de Paris voulant constituer un mouvement universitaire réformiste, mais apolitique. Le CLERU approuve de nombreux points de la loi d'orientation de l'enseignement, mais veut pratiquer la « critique constructive ». Son influence est surtout sensible dans les facultés de droit et des lettres de Paris.

Président : Jacques Mezard.