Carl Maria von Weber, Symphonie n° 1 en ut majeur (finale, presto)
En 1806, Weber fut l'invité du duc Friedrich Eugen von Württemberg-Öls, lui-même excellent hautboïste, et qui entretenait un petit orchestre pour lequel le compositeur écrivit ses deux symphonies. Weber se faisait une conception de la musique très différente de celle de ses prédécesseurs viennois, Haydn et Mozart : il voulait que celle-ci raconte quelque chose. Le quatrième mouvement, une sorte de mouvement perpétuel, déborde ainsi d'esprit et d'invention musicale.
&pro; Aquarius / Larousse 2005