Franz Liszt, les Préludes, poème symphonique n° 3
Ce poème symphonique est souvent considéré comme un modèle de « musique à programme » à l'allemande, bien qu'il utilise par souci d'unité formelle le principe cyclique. Inspirée de vers de Lamartine, la musique en suit l'évolution : « Notre vie est-elle autre chose qu'une série de préludes à ce chant inconnu dont la mort entonne la première et la dernière note ? »
Prod. Aquarius / Larousse 2005