Grande-Bretagne : activités économiques

Angleterre, Yorkshire
Angleterre, Yorkshire

  • GÉNÉRALITÉS
  • PNB (2022) : 3104 milliards de dollars
  • PNB/hab. (2022) : 49 240 dollars
  • PNB/hab. PPA (2022) : 55210 dollars internationaux
  • IDH (2021) : 0,929
  • Taux de croissance annuelle du PIB (2022) : 4,3 %
  • Taux annuel d'inflation (2022) : 7,9 %
  • Structure de la population active (2021) :
    ● agriculture : 1,0 %
    ● mines et industries : 18,0 %
    ● services : 81,0 %
  • Structure du PIB (2022) :
    ● agriculture : 0,76 %
    ● mines et industries : 16,7 %
    ● services : 82,54 %
  • Taux de chômage (2022) : 3,6 %
  • Tourisme
  • Recettes touristiques (2018) : 48 515 millions de dollars
  • Commerce extérieur
  • Exportations de biens (2022) : 518 800 822 601 millions de dollars
  • Importations de biens (2022) : 793 130 846 084 millions de dollars
  • Défense
  • Forces armées (2020) : 153 000 individus
  • Dépenses militaires (2022) : 2,2 % du PIB
  • Niveau de vie
  • Incidence de la tuberculose pour 100 000 personnes (2022) : 8
  • Part en % des richesses détenues par les 10 % les plus élevés (2021) : 57,1 %
  • Part en % des richesses détenues par les 50 % les moins élevés (2021) : 4,6 %
  • Dépenses publiques d'éducation (2021) : 5,3 % du PIB

La Grande-Bretagne a fortement ressenti la crise financière de 2008, qui a d'abord touché les secteurs de la banque et de la finance. La propagation de la crise à l'industrie et à l'immobilier a entraîné une grave récession. Avec une augmentation du chômage et de l'inflation, une dépréciation de la livre et une dégradation des finances publiques, la crise s'est prolongée jusqu'en 2013. En dehors de certains secteurs comme la chimie, l'industrie est en perte de vitesse et les ressources pétrolières et gazières ne couvrent plus les besoins. À l'exception des échanges avec les États-Unis (1er client) et l'Irlande, le commerce extérieur est traditionnellement déficitaire, notamment avec les partenaires de l'UE (Allemagne, Pays-Bas, France, Belgique, Espagne, Italie) comme avec la Chine et la Norvège. Fer de lance de la croissance, les services financiers ont été ébranlés par la crise et par les faillites bancaires aux États-Unis, et l'État a dû porter secours à huit banques, ce qui a directement contribué à l'envolée de la dette publique. À un premier plan d'austérité, adopté au début de 2011, ont succédé de nouvelles restrictions budgétaires qui ont permis de réduire le déficit public de 10,2 % en 2009 à 2,3 % du PIB en 2019. Si le pays a retrouvé la voie de la croissance à partir de 2013 et si le taux de chômage reste l'un des plus faibles d'Europe (autour de de 4 % en 2023), la situation économique est fragile à la suite de la sortie de l'UE et de la récession due à la pandémie de Covid-19. Après la reprise de 2021–2022 (accompagnée d'une forte inflation), , la croissance est estimée à 0,5 % en 2023–2024 dans un contexte de ralentissement mondial et de crise énergétique. .

1. Les difficultés actuelles de l'économie britannique

La crise économique et financière est la plus sévère depuis la Grande Dépression des années 1930. En 2009, l'activité chute de 4,8 %. Les trois moteurs habituels de la croissance – finance, immobilier et consommation – ont été durablement touchés. La livre est au plus bas, le marché immobilier en chute, la consommation en berne, l'inflation et le chômage augmentent. L'ensemble ne faisant qu'aviver les inégalités sociales et les mécontentements. Les mesures de soutien à l'économie, le sauvetage des banques britanniques, la baisse des recettes fiscales et l'augmentation des prestations sociales vident les caisses de l'État alors que le déficit budgétaire explose à 11 % du produit intérieur brut pour atteindre 188 milliards d'euros. En masse monétaire, il s'agit du plus gros déficit budgétaire de l'Union européenne et, en pourcentage du produit intérieur brut, est proche de celui de la Grèce.

2. L'agriculture

2.1. L'élevage

Le royaume possède le premier troupeau ovin de l'Union européenne (6e rang mondial et 4e production mondiale de laine en 2009), présent sur les terres moins fertiles (Écosse, pays de Galles, Pennines), et le troisième troupeau de bovins, localisé dans les plaines et plateaux du Sud-Est. L'élevage fournit un peu moins de 60 % du revenu agricole.

2.2. Les céréales

Grâce à la recherche agronomique et aux engrais, les céréales (blé, orge) se sont considérablement développées, au même titre que les cultures sarclées comme la pomme de terre et la betterave à sucre. Le pays est devenu autosuffisant dans les premières, et répond presque à sa demande en viande (importations de porcs).

2.3. La structure agraire

La grande propriété foncière (30 % de l'espace agricole) et le fermage caractérisent encore la structure agraire, mais le faire-valoir direct a beaucoup progressé (60 % des terres, contre 10 % seulement en 1872). Il est dominant dans l'ouest de l'Angleterre, au pays de Galles et en Irlande du Nord. La carte agricole du pays est néanmoins variée : des exploitations très modernes, industrielles, côtoient encore de toutes petites fermes (comme les crofts des Highlands d'Écosse), les zones de grandes cultures, les bocages et pâturages de montagne…

La surface moyenne de chaque exploitation est de 66 hectares. Notamment en Angleterre, la moitié de la production est assurée par 15 % des plus grosses exploitations, de plusieurs centaines d'hectares chacune. Environ les trois-quarts des terres agricoles sont consacrés à l'élevage, intensif dans les prairies des Basses Terres, extensif dans les collines et les landes. Les surfaces cultivées concernent essentiellement les céréales, blé et orge.

2.4. Les différentes régions agricoles

L'Ouest, humide et bocager, est une région d'élevage ; le Sud-Est, plus sec et plus ensoleillé, est davantage voué aux grandes cultures : céréales (blé surtout), betteraves à sucre. Les riches Fens, dans l'est de l'Angleterre, pratiquent maraîchage, horticulture et élevage intensif. Le Sud est réputé pour ses vergers fruitiers. L'Est et le Sud comptent pour 60 % de la production agricole. Les monts d'Écosse, du pays de Galles et d'Irlande du Nord sont le domaine de l'élevage extensif des moutons.

2.5. L'industrie agroalimentaire

Le Royaume-Uni possède l'une des plus puissantes industries agroalimentaires d'Europe : la tradition coloniale, l'ancienneté de l'urbanisation et la concentration précoce de la distribution ont fait émerger de grands groupes internationaux. Très diversifié, ce secteur s'est développé autour de spécialités nationales : brasserie, distillerie (whisky), confiserie, biscuiterie, conserverie.

2.6. La pêche

La pêche, en déclin, est relayée par l'aquaculture (lochs d'Écosse). Ce secteur demeure néanmoins important : le volume de prises permet au royaume de disputer au Danemark la 4e place d'exportateur de produits de la mer et il reste l'un des plus importants pays de l'Union européenne pour la pêche, assurant environ un quart des prises des espèces principales et 40 % des besoins nationaux en poisson. En Écosse, les activités d'élevage de crustacés et de poissons (notamment de saumon) contribuent fortement, avec le whisky, à la prospérité de la filière alimentaire locale.

2.7. La forêt

La forêt britannique (10 % de la superficie totale) est une des plus réduites d'Europe (25 % de la superficie en moyenne) ; elle couvre 8 % de l'Angleterre, 17 % de l'Écosse, 14 % du pays de Galles et 5 % de l'Irlande du Nord. Elle serait beaucoup plus réduite encore sans l'action de l'État qui, en créant la Forestry Commission en 1919, a enrayé son déclin séculaire : la superficie de la forêt a quasiment doublé (Écosse, Galles, Pennines) au cours du xxe s.

3. Les ressources minières et énergétiques

Le règne du roi-charbon a pris fin : si l'exploitation du charbon a ouvert l'ère industrielle nationale, elle est désormais en déclin constant et a été relayée par celle des hydrocarbures découverts en mer du Nord dans les années 1970.

D'énormes investissements ont mis en valeur les gisements d'hydrocarbures de la mer du Nord : plates-formes d'extraction, oléoducs, gazoducs, terminaux pétroliers (façade orientale jusqu'aux Orcades et aux Shetland). Le gaz naturel, dont les gisements se situent au large des Shetland, du Northumberland et du Norfolk, fournit, quant à lui, 25 % de la consommation d'énergie, 40 % de la production d'électricité et l'immense majorité des chauffages. Le Royaume-Uni est le 15e producteur mondial de gaz naturel et le 19e producteur mondial de pétrole. Il en est, en outre, le premier exportateur d'Europe occidentale ; cependant, il n'est plus, en la matière, auto-suffisant : il importe désormais plus de pétrole qu'il n'en exporte.

Les productions de pétrole et de gaz naturel sont aujourd'hui en net déclin.

L'électricité nucléaire (1er producteur mondial de 1956 à 1970, 11e en 2007) représente le cinquième de la production électrique.

L'hydroélectricité, mineure, n'est importante qu'en Écosse.

4. L'industrie

4.1. La sidérurgie

L'importance de la sidérurgie, qui a été l'un des piliers de la croissance économique jusque dans les années 1960, a beaucoup diminué. Alors située sur les bassins houillers du pays de Galles, d'Écosse (Lowlands), du Nord-Est anglais, du Cumberland, de Sheffield, du Lincolnshire et du Pays Noir, autour de Birmingham, ou bien sur les gisements ferreux (front de la côte jurassique qui prend en écharpe le Nord-Est anglais jusqu'au Sud-Ouest), elle a atteint son maximum de production en 1970. En 2010, elle n'est plus que la 18e du monde, derrière notamment la France, Taïwan et le Canada : dans le pays, quelques centres seulement sont encore en activité (Redcar dans le Nord-Est, Port Talbot et Llanwern au pays de Galles), auxquels il faut ajouter des fonderies et des centres spécialisés dans les anciennes régions charbonnières, notamment à Corby, Shotton (Nord gallois) et Sheffield.

Le traitement des métaux non ferreux a presque disparu (sauf dans le Sud gallois) et la production d'aluminium (Écosse) est assurée par un groupe canadien. Les célèbres chantiers navals (Glasgow, Belfast) ne sont plus que l'ombre d'eux-mêmes et se sont réorientés vers la construction de plates-formes pétrolières ou la plaisance.

4.2. L'industrie automobile

L'industrie automobile, orgueil de la nation jusque dans les années 1970 (1,9 million de véhicules en 1972), avec des marques prestigieuses comme Rolls-Royce ou Jaguar, ne doit sa survie (moins de 900 000 véhicules en 1982) et, en définitive, son renouveau (1,27 million en 2010, 12e rang mondial) qu'aux investissements extérieurs : production américaine (Ford, General Motors-Vauxhall), implantations japonaises (Nissan, Toyota, Honda), rachats de Jaguar par Ford, de Rolls-Royce par Volkswagen. Concentré dans les Midlands et le bassin londonien, le secteur est désormais partagé entre Américains, Japonais et Allemands. La faillite de Rover laisse cependant planer une ombre sur l'avenir de cette branche dans le pays.

4.3. Les autres industries mécaniques

L'industrie aéronautique profite des programmes internationaux (Airbus) et se déploie principalement autour de Londres jusqu'à Bristol et aux Midlands.

L'armement, fort développé, tend à remplacer l'automobile comme premier exportateur de produits manufacturés.

Les machines-outils et les biens d'équipement connaissent également une relative prospérité.

4.4. La chimie et le textile

La chimie lourde se regroupe sur les bords des estuaires de la Mersey, de la Tees, de la Tamise et de la Severn. Les industries pétrolières (BP, Shell), du verre (Pilkington), des détergents (Unilever) sont fort puissantes.

Le textile, autre grand pilier de l'industrialisation britannique, s'est réduit à la portion congrue : le coton ne fait guère plus vivre le Lancashire, la laine, en contraction (Yorkshire, Écosse), a un peu mieux résisté, tandis que la confection, elle aussi en déclin, occupe toujours une partie de la main-d'œuvre immigrée dans les grandes villes du Nord et à Londres. L'Écosse, l'Irlande du Nord, les Midlands comptent quelques petites firmes de bonneterie, tandis qu'émergent du secteur deux grands groupes, Courtaulds et Viyella.

4.5. Les industries de haute technologie

Les industries de haute technologie, comme la pharmacie, qui compte de grands groupes internationaux, l'électronique, l'informatique et les biotechnologies, ont connu un grand essor. Le pays est le 2e producteur de composants électroniques d'Europe. En outre, il est fort bien placé dans les nouvelles technologies : par exemple, le clonage de la brebis Dolly a été effectué dans un laboratoire de la Silicon Glen, à côté d'Édimbourg. Des petites et moyennes entreprises, mais aussi des entreprises plus importantes, se sont installées dans des parcs technologiques situés à proximité des laboratoires d'universités de réputation mondiale de la région londonienne (Cambridge, Oxford, Londres) et dans les Lowlands écossais (d'Édimbourg à Glasgow), avec lesquels elles ont de nombreux liens.

5. Les services et les échanges

Le commerce extérieur, activité traditionnelle du pays, a pris une place croissante dans l'économie : la moitié de la production est aujourd'hui exportée. Mais les importations ont également augmenté, au point de représenter plus de 50 % de la valeur totale de la consommation en Grande-Bretagne. De fait, depuis 1983, le solde de la balance commerciale ne cesse de se dégrader. La gamme des produits échangés a profondément changé : à l'époque coloniale, le royaume importait, principalement de l'Empire britannique, des matières premières et des denrées alimentaires.

L'essor de la production agricole, l'abondance des hydrocarbures et la désindustrialisation ont changé la donne : le pays achète désormais des produits manufacturés (80 % des importations) qu'il fait venir des pays développés. De fait, la part du commerce extérieur vers le grand large a diminué de moitié depuis les accords d'Ottawa de 1932, représentant moins du quart du total, tandis que les échanges sont dominés à 60 % par les partenaires européens. Le pays écoule vers ces derniers près de 50 % de ses exportations et ceux-ci n'assurent pas loin des deux tiers de ses importations.

La France, qui était le 9e fournisseur en 1963, est devenue le 3e dès la fin des années 1970, derrière l'Allemagne et les États-Unis. Symboles de cet arrimage européen, le tunnel sous la Manche est inauguré en 1994 tandis que les ports de l'Est et du Sud (ports de la Tees, Felixstowe, Tilbury, Douvres, Southampton) ont éclipsé ceux de la façade occidentale.

5.1. Le secteur financier et bancaire

Avec les trois quarts de la population active et des revenus du pays, le tertiaire est devenu dominant. Aux activités administratives et commerciales (distribution) s'ajoutent celles des services financiers, concentrés dans la City, qui ont pris le relais du fret maritime, ancienne grande spécialité britannique. Londres est la première place financière d'Europe, loin devant Francfort et Paris, la 3e mondiale après New York et Tokyo. Plusieurs centaines de milliers de personnes y travaillent et ses services (financiers, comptables, juridiques et de conseil) constituent plus de 20 % du produit intérieur brut et le principal poste des exportations du pays, dépassant ainsi l'industrie manufacturière.

Le « mile carré » historique de la Cité de Londres est au centre de ces activités. Il comprend la Banque d'Angleterre – dont le comité de politique monétaire fixe librement les taux d'intérêt. La Bourse de Londres (le célèbre London Stock Exchange) est le premier marché mondial de l'assurance, de la réassurance et des changes, le second marché des produits dérivés (matières premières) après Chicago, le premier des métaux non ferreux, le seul marché à terme du pétrole en Europe, et constitue la plus grande concentration de banques étrangères au monde.

Édimbourg (associé à Glasgow), Manchester, Cardiff, Liverpool et Leeds restent d'importants centres financiers, surtout le premier, qui est le cinquième centre de l'Union européenne pour les fonds d'investissement.

5.2. Le tourisme

Le tourisme apparaît comme un secteur d'avenir. Si le tourisme interne a toujours été relativement prospère, la vogue du Royaume-Uni, en Europe surtout, est assez récente. Elle est principalement apparue au temps de la livre sterling bon marché dans les années 1960 et 1970.

Ainsi, le Royaume-Uni, malgré les difficultés qu'il a rencontrées dans le passé, précisément à cause des transformations souvent brutales qu'il a dû subir, offre l'exemple d'une économie post-industrielle, sans doute mieux à même que la plupart des autres économies européennes de s'adapter au nouvel ordre mondial.

5.3. La réorganisation de l'espace économique

Les mutations de l'économie, depuis les années 1920, renforcées par les crises des années 1970 et 1980, ont fait basculer le centre de gravité du pays vers le Sud et, désormais, vers l'Est, selon une ligne Aberdeen-York-Bristol. Les bassins miniers et industriels du Nord-Ouest, de l'Ouest écossais et du Sud gallois, ainsi que les grands ports occidentaux (Liverpool, Belfast) ont subi de plein fouet la crise des industries traditionnelles (extraction, sidérurgie, automobile, mécanique, textile) et la réorientation des courants d'échanges vers l'Europe. La structure industrielle diversifiée et modernisée des Midlands, proches de Londres, et de la façade orientale, de l'Écosse à l'Est-Anglie, a mieux résisté. La région industrielle de Glasgow s'est reconvertie et a su jouer de sa complémentarité avec l'agglomération tertiaire et universitaire d'Édimbourg.

Le poids considérable de Londres s'est donc accru. Le Sud-Est, polarisé autour de la mégapole britannique, proche des centres de pouvoir du royaume et de l'Europe, est plus que jamais un élément de la dorsale dynamique de l'Europe (Lombardie-pays rhénans-bassin londonien). Doté d'un cadre de vie et d'un climat agréables, il continue à attirer les industries modernes, la haute technologie et les services, entraînant en conséquence d'importants flux de population du Nord-Ouest vers la grande auréole londonienne, l'Est-Anglie et le Sud-Ouest. À présent, le grand bassin de Londres, qui, de la Severn à la baie de Wash, et même jusqu'aux Midlands, étend le long des autoroutes ses usines, ses entrepôts, ses bureaux et ses pavillons, regroupe presque 60 % de la population et fournit près des deux tiers du produit intérieur brut.

6. Les sites de Grande-Bretagne classés à l'Unesco

Plusieurs dizaines de sites sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.

Les sites inscrits en Angleterre :
– Londres : palais de Westminster et abbaye de Westminster incluant l'église Sainte-Marguerite ;
– Londres : Tour de Londres ;
– Londres : Greenwich ;
– cathédrale et château de Durham ;
Bath ;
– usines de la vallée de la Derwent ;
– Cantorbéry : cathédrale, abbaye Saint-Augustin et église Saint-Martin ;
– palais de Blenheim ;
– frontières de l’Empire romain ;
– littoral du Dorset et de l'est du Devon ;
– parc de Studley Royal avec les ruines de l'abbaye de Fountains ;
Stonehenge, Avebury et sites associés ;
Liverpool : port marchand ;
Saltaire ;
– jardins botaniques royaux de Kew ;
– gorge d'Ironbridge ;
– paysage minier des Cornouailles et de l’ouest du Devon.

Les sites inscrits au pays de Galles :
– pont-canal et canal de Pontcysyllte ;
– paysage industriel de Blaenavon ;
– châteaux forts et enceintes du roi Édouard Ier dans l'ancienne principauté de Gwynedd.

Les sites inscrits en Écosse :
Édimbourg : vieille ville et nouvelle ville ;
– île de Saint Kilda ;
– New Lanark ;
– cœur néolithique des Orcades.

Les sites inscrits en Irlande du Nord :
Chaussée des Géants et sa côte.

Les sites inscrits aux Bermudes :
– ville historique de Saint George et les fortifications associées.

Les sites inscrits dans l'océan Atlantique Sud :
– îles de Gough et Inaccessible.

Les sites inscrits dans l'océan Pacifique Sud :
– île d'Henderson.

Pour en savoir plus, voir les articles géographie physique de la Grande-Bretagne et population de la Grande-Bretagne.