La bataille d'Austerlitz, 2 décembre 1805
Les canons se sont tus. Il s'agit maintenant de négocier. Que ce soit avec le prince de Liechtenstein, auquel s'adresse ici Napoléon victorieux, ou avec l'empereur d'Autriche, son futur beau-père qui signera l'armistice le 6 décembre. Peinture de Carle Vernet (1758-1836).
Ph. Hubert Josse © Archives Larbor