paix d'Augsbourg (1555)
Texte signé par les luthériens et les catholiques.
Le Saint Empire romain germanique se trouvait partagé entre les deux confessions, les princes recevant le droit d'imposer celle de leur choix à leurs sujets, suivant le principe cujus regio, ejus religio, consécration de l'absolutisme princier. Une clause, dite du réservat ecclésiastique, annulait toute sécularisation de biens d'Église postérieure à 1552. Elle ne fut pas respectée.
Ainsi était consacré l'échec de la politique de Charles Quint voulant unifier l'Allemagne sur le plan religieux.
Pour en savoir plus, voir l'article la Réforme.